
A new collaborative research project, titled Foregrounding Indigenous Perspectives: Community and Collaborator Affinities and Conflicts in Open Education, aims to address a fundamental problem in how open educational practices approach Indigenous Knowledges, and instead replicate colonial concepts of ownership and knowledge transfer. The project will identify gaps in the open education communities’ understanding of Indigenous perspectives through surveys of open educational resource creators, and interviews with Canadian Indigenous faculty, academic educators, librarians, and others involved in the creation of open educational resources and initiatives at various universities and colleges.
“My hope for this project is to have some sense of how we can engage in open educational practices that are grounded in research on Indigenous perspectives. This will be able to unearth our gaps in understanding and balance our advocacy efforts with research-informed practice,” says Erin Fields, principal investigator and Open Education and Scholarly Communications Librarian at UBC Library.
“From our findings, we will be able to provide suggestions for people working within open education on how they can engage respectfully with Indigenous communities and Knowledge Keepers and, in doing so, we can help to eliminate the colonial violence being done to Indigenous communities within open education and the broader field of education,” says Donna Langille, Community Engagement and Open Education Librarian at UBCO Library.
“There are a lot of complexities in regards to Indigenous Knowledges and how they are shared, so it’s great to have a group of advocates who can come together to begin to address the concerns that many communities have while thinking more within a national scope,” says Kayla Lar-Son, Indigenous Programs and Services Librarian at Xwi7xwa Library. “This grant allows us to support Indigenous communities in an area where they are often forgotten and in a way that makes sense with their own protocols and uplifts their voices.”
Credit: This post is based on materials originally created by UBC Library Communications
French Version
Promotion des perspectives autochtones. Affinités et conflits entre communautés et collaborateurs dans l’éducation ouverte Bibliothèque
Un nouveau projet de recherche collaborative, intitulé:Promotion des perspectives autochtones : Affinités et conflits entre communautés et collaborateurs au sein de l’éducation ouverte,vise à aborder un problème fondamental dans la façon dont les pratiques d’éducation ouverte traitent les savoirs indigènes, et reproduisent plutôt les concepts coloniaux de propriété et de transfert de connaissances. Le projet identifiera les lacunes dans la compréhension des perspectives indigènes par les communautés de l’éducation ouverte, par le biais d’enquêtes auprès des créateurs de ressources éducatives ouvertes, d’entretiens avec des professeurs, des éducateurs pédagogiques, des bibliothécaires ainsi que d’autres personnes indigènes canadiennes travaillant dans la création de ressources et d’initiatives éducatives ouvertes dans différentes universités et collèges.
“Mon espoir dans ce projet est d’avoir une idée de la manière dont nous pouvons nous engager dans des pratiques d’éducation ouverte reposant sur la recherche des perspectives indigènes. Nous pourrons ainsi identifier nos lacunes en matière de compréhension et équilibrer nos efforts de défense des droits avec des pratiques basées sur la recherche”, explique Erin Fields, chercheuse principale et bibliothécaire spécialisée dans l’éducation ouverte et les communications scientifiques à la bibliothèque de l’UBC.
Un nouveau projet de recherche collaborative, intitulé:Promotion des perspectives autochtones : Affinités et conflits entre communautés et collaborateurs au sein de l’éducation ouverte,vise à aborder un problème fondamental dans la façon dont les pratiques d’éducation ouverte traitent les savoirs indigènes, et reproduisent plutôt les concepts coloniaux de propriété et de transfert de connaissances. Le projet identifiera les lacunes dans la compréhension des perspectives indigènes par les communautés de l’éducation ouverte, par le biais d’enquêtes auprès des créateurs de ressources éducatives ouvertes, d’entretiens avec des professeurs, des éducateurs pédagogiques, des bibliothécaires ainsi que d’autres personnes indigènes canadiennes travaillant dans la création de ressources et d’initiatives éducatives ouvertes dans différentes universités et collèges. «Mon espoir dans ce projet est d’avoir une idée de la manière dont nous pouvons nous engager dans des pratiques d’éducation ouverte reposant sur la recherche des perspectives indigènes. Nous pourrons ainsi identifier nos lacunes en matière de compréhension et équilibrer nos efforts de défense des droits avec des pratiques basées sur la recherche», explique Erin Fields, chercheuse principale et bibliothécaire spécialisée dans l’éducation ouverte et les communications scientifiques à la bibliothèque de l’UBC
“Sur la base de nos conclusions, nous pourrons suggérer aux personnes travaillant dans le domaine de l’éducation ouverte des moyens de s’engager de manière plus respectueuse avec les communautés autochtones et les dépositaires du savoir. Ainsi, nous pourrons ainsi contribuer à éliminer la violence coloniale exercée à l’encontre des communautés autochtones dans le cadre de l’éducation ouverte et dans le domaine de l’éducation en général”»”, poursuit Donna Langille, bibliothécaire chargée de l’engagement communautaire et de l’éducation ouverte à la bibliothèque de l’UBCO. “
“Les connaissances indigènes et la façon dont elles sont transmises sont très complexes. C’est donc formidable de disposer d’un groupe de défenseurs qui peuvent se réunir pour commencer à répondre aux préoccupations de nombreuses communautés, tout en raisonnant à l’échelle nationale”, souligne Kayla Lar-Son, bibliothécaire chargée des programmes et services indigènes à la bibliothèque Xwi7xwa. “Cette subvention nous permet d’accompagner les communautés indigènes dans un secteur où elles sont souvent oubliées, d’une manière qui correspond à leurs propres protocoles et qui leur permet de se faire entendre.”